Le froid fait-il vraiment maigrir ? La vérité derrière cette idée reçue

Vous avez sûrement déjà entendu dire que le froid fait maigrir. Que s’exposer à de basses températures permettrait de brûler plus de calories et donc de perdre du poids plus facilement. Mais qu’en est-il vraiment ? Le froid est-il un allié minceur ou s’agit-il d’une simple idée reçue ? Dans cet article, nous allons explorer les mécanismes physiologiques liés au froid et leur impact réel sur la perte de poids. Préparez-vous à découvrir la vérité derrière cette croyance populaire !

Le froid et la dépense calorique

La thermogenèse, kesako ?

Lorsque notre corps est exposé au froid, il met en place un processus appelé thermogenèse pour maintenir sa température interne stable, autour de 37°C. La thermogenèse correspond à la production de chaleur par l’organisme, via différents mécanismes comme les frissons ou l’activation du métabolisme. Et produire de la chaleur nécessite de l’énergie, donc des calories.

Une dépense calorique réelle mais limitée

Des études ont montré qu’une exposition au froid entraîne effectivement une augmentation de la dépense énergétique. Le corps brûle un peu plus de calories pour se réchauffer. Cependant, cette dépense supplémentaire reste assez faible. On estime qu’une douche froide permettrait de brûler environ 100 à 200 calories, soit l’équivalent d’un petit croissant. Pas de quoi compenser un repas copieux !

Le froid, un allié minceur à nuancer

Un impact marginal sur la perte de poids

Si le froid augmente légèrement les dépenses caloriques, son effet sur la perte de poids reste très limité. Les quantités de calories brûlées sont trop faibles pour entraîner une perte de poids significative. D’autant plus que notre corps s’adapte rapidement aux basses températures, réduisant progressivement la dépense énergétique liée à la thermogenèse.

Les risques d’une exposition excessive au froid

S’exposer au froid de façon prolongée ou intense n’est pas sans risque pour la santé. Cela peut affaiblir le système immunitaire et nous rendre plus vulnérables aux infections. Le froid excessif peut aussi entraîner des gelures ou une hypothermie. Mieux vaut donc rester prudent et ne pas compter uniquement sur le froid pour perdre du poids.

Les vraies clés pour maigrir durablement

Une alimentation équilibrée et une activité physique régulière

Plutôt que de miser sur le froid, il est préférable de se concentrer sur les fondamentaux d’une perte de poids durable : une alimentation équilibrée et une activité physique régulière7. Manger moins et mieux, en privilégiant les fruits, les légumes et les protéines maigres, tout en limitant les aliments gras et sucrés. Et bouger au moins 30 minutes par jour, en pratiquant une activité qui vous plaît.

Renforcer son organisme pendant l’hiver

En hiver, il est crucial de prendre soin de son corps pour éviter de tomber malade. Une bonne hydratation, une alimentation riche en vitamines et minéraux ainsi qu’une cure de probiotiques peuvent aider à renforcer ses défenses immunitaires8. Et si vous décidez de faire du sport par temps froid, assurez-vous d’avoir un équipement adapté et une bonne condition physique.

Conclusion

Le froid fait-il maigrir ? La réponse est oui… mais dans une moindre mesure ! Si l’exposition au froid augmente légèrement la dépense calorique via la thermogenèse, son impact sur la perte de poids reste marginal. Mieux vaut se concentrer sur une alimentation équilibrée et une activité physique régulière pour perdre du poids durablement, tout en prenant soin de son organisme pendant l’hiver. Et vous, avez-vous déjà testé le froid comme allié minceur ? Partagez votre expérience en commentaire !

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Impact des conditions de travail sur les salariés

Les conditions de travail jouent un rôle crucial dans la vie professionnelle de chaque individu. Elles influencent non seulement la santé physique et mentale des employés, mais aussi leur performance et leur satisfaction au travail. Comprendre l’importance de ces conditions peut aider les entreprises à créer un environnement de travail plus sain et plus productif.

Influence sur la santé des salariés

Santé physique

Un environnement de travail ergonomique est vital pour prévenir les problèmes de santé physique. Les bureaux mal agencés ou les équipements non adaptés peuvent entraîner des troubles musculo-squelettiques (TMS), comme les douleurs au dos ou aux articulations. L’ergonomie au travail consiste à adapter le poste de travail aux besoins des salariés pour réduire ces risques.

De plus, les efforts physiques intenses liés à certains métiers peuvent conduire au développement de maladies professionnelles. Assurer une charge de travail équilibrée et fournir les équipements adéquats contribue à préserver la santé des salariés sur le long terme. Cela inclut également des pauses régulières pour permettre au corps de récupérer.

Santé mentale

Le stress lié au travail est un facteur majeur affectant la santé mentale des employés. Les délais serrés, la pression constante pour atteindre des objectifs ambitieux et le manque de soutien peuvent épuiser mentalement les salariés. Pour lutter contre cela, il est essentiel d’instaurer une culture d’entreprise bienveillante où le bien-être des employés est mis en avant.

Des environnements de travail toxiques peuvent également causer des burnouts ou des dépressions sévères. Favoriser des relations professionnelles saines et encourager une communication ouverte permet de réduire ces risques. Les managers jouent un rôle clé dans ce contexte en reconnaissant les signes de stress et en intervenant rapidement.

Performance des employés et engagement des salariés

Lien direct avec les performances

Les conditions de travail impactent directement la performance des employés. Un cadre agréable et sécuritaire permet aux salariés de se concentrer pleinement sur leurs tâches sans distractions induites par des inconforts physiques ou mentaux. Une bonne hygiène et sécurité sur le lieu de travail minimisent les incidents pouvant interrompre la productivité.

Par ailleurs, lorsque les employés se sentent bien dans leur environnement de travail, ils ont tendance à être plus motivés et engagés. Cet engagement des salariés conduit souvent à une meilleure qualité du travail et à des résultats plus satisfaisants pour l’entreprise. Une entreprise qui investit dans de bonnes conditions de travail récolte généralement les fruits de son investissement sous forme d’une productivité accrue.

Satisfaction au travail

La satisfaction au travail est un aspect fondamental qui découle directement des conditions de travail. Des locaux propres et bien équipés, ainsi qu’une ambiance positive, contribuent grandement au bonheur des employés. Cette satisfaction se traduit souvent par un taux moindre d’absentéisme, car les employés heureux sont moins enclins à vouloir éviter leur lieu de travail.

Reconnaître et récompenser les efforts des employés est une autre manière d’améliorer leur satisfaction. Les programmes de reconnaissance peuvent aller des éloges publics aux primes financières, en passant par des jours de congé supplémentaires. Tout geste valorisant les contributions des salariés renforce leur attachement à l’entreprise et leur désir de réussir.

Prévention et gestion des risques professionnels

Hygiène et sécurité

La mise en place de mesures d’hygiène et de sécurité est indispensable pour protéger les salariés. Ces mesures passent par la formation aux bonnes pratiques, l’entretien régulier des équipements et la fourniture d’équipements de protection individuelle (EPI) adaptés. Un suivi rigoureux et constant permet de maintenir un niveau élevé de sécurité au travail.

Il est essentiel de réaliser des audits réguliers pour identifier les potentielles sources de danger et y remédier promptement. Informer les employés des risques associés à leur métier et les former régulièrement constitue une démarche proactive pour éviter les accidents et les maladies professionnelles.

Encouragement des comportements positifs

Promouvoir des comportements responsables parmi les salariés est tout aussi important. Cela implique de sensibiliser les employés aux avantages d’un comportement sécuritaire pour leur propre bien-être et celui de leurs collègues. Encourager les gestes écologiques et économiques, comme économiser les ressources ou recycler, participe également à créer un environnement de travail positif.

D’autre part, l’instauration de politiques internes claires concernant le harcèlement, la discrimination et d’autres attitudes incompatibles avec un climat de respect mutuel est cruciale. De telles politiques garantissent que tous les employés se sentent protégés et valorisés dans leur milieu professionnel.

Conditions matérielles et organisationnelles

Adaptation des outils et des espaces

Offrir des postes de travail adaptés aux besoins spécifiques des salariés joue un rôle clé dans la prévention des blessures et des maux chroniques. Des chaises réglables, des écrans ajustables et des dispositifs pour améliorer l’ergonomie sont des exemples de solutions simples mais efficaces. Par ailleurs, la disposition des espaces communs doit favoriser la circulation fluide et la détente.

La température, l’éclairage et le bruit ambiant sont aussi des facteurs déterminants. Une température stable et agréable, une lumière naturelle suffisante et un niveau sonore modéré améliorent considérablement le confort quotidien des salariés. Chaque détail compte lorsque l’on vise à optimiser l’environnement de travail.

Organisation du travail

Une organisation du travail bien pensée augmente l’efficacité et diminue le stress. Structurer les tâches de manière cohérente, établir des priorités claires et éviter la surcharge de travail permettent aux employés de mieux gérer leur temps et leurs ressources. La flexibilité horaire ou le télétravail peuvent également apporter une amélioration notable dans l’équilibre entre vie professionnelle et personnelle.

Les rythmes de travail doivent tenir compte des capacités individuelles et laisser place à des moments de pause nécessaires pour recharger les batteries. Encouragez les employés à prendre des pauses régulières, même courtes, pour maximiser leur concentration et leur énergie tout au long de la journée.

Conséquences des mauvaises conditions de travail

Développement de maladies professionnelles

Lorsque les conditions physiques de travail ne sont pas optimales, le risque de développer des maladies professionnelles augmente. Cela comprend notamment les affections dues à des postures inadéquates ou à une exposition prolongée à des substances nocives. Adopter des stratégies de prévention efficaces aide à limiter ces risques et assure donc une meilleure santé pour les travailleurs.

Ainsi, un suivi médical régulier et un dialogue ouvert avec les salariés sur leurs préoccupations de santé sont essentiels. Les services de santé au travail peuvent jouer un rôle préventif en identifiant précocement les symptômes inquiétants et en proposant des solutions adaptées.

Taux élevé d’absentéisme

Les mauvaises conditions de travail conduisent souvent à un taux d’absentéisme élevé. L’absentéisme coûte cher non seulement financièrement pour l’entreprise, mais affecte également la dynamique d’équipe et les délais de production. En revanche, en assurant un environnement de travail favorable, on peut diminuer les absences fréquentes et instaurer un climat de confiance.

Équilibrer les charges de travail, offrir un soutien psychologique et accepter des modalités de travail flexible lorsque nécessaire constituent autant de moyens d’améliorer la présence et la participation active des salariés. Veiller régulièrement à ces aspects favorise une meilleure continuité des opérations et une atmosphère de travail harmonieuse.

En conclusion, il est évident que les conditions de travail ont un impact profond sur la santé des salariés, leur performance, et leur engagement. Créer un environnement de travail sûr, accueillant et bien pensé n’est pas seulement bénéfique pour les employés individuellement, mais également pour l’ensemble de l’organisation. Pour résumer, investir dans des conditions de travail optimales est un choix stratégique gagnant-gagnant pour toutes les parties prenantes impliquées.

Le côté obscur du perfectionnisme

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Le perfectionnisme, en psychologie, est la croyance qu’il faut s’efforcer à atteindre la perfection.

Dans sa forme pathologique, c’est la croyance malsaine que l’imperfection est inacceptable.

Le perfectionnisme peut conduire les gens à accomplir de grandes choses et fournir la motivation de persévérer face au découragement et aux obstacles.
Les perfectionnistes adaptatifs ont des niveaux inférieurs de procrastination que les non-perfectionnistes.
Les athlètes de haut niveau, les scientifiques et les artistes montrent souvent des signes de perfectionnisme.
Par exemple, le perfectionnisme de Michel-Ange l’a peut-être incité à créer des chefs-d’œuvre comme David et la chapelle Sixtine.

Dans sa forme pathologique, le perfectionnisme peut être très nuisible.

Il peut prendre la forme de la procrastination quand il est utilisé pour différer les tâches ( « je ne peux pas démarrer mon projet jusqu’à ce que je sais la «bonne» façon de le faire. »), et de l’autodépréciation quand il est utilisé pour expliquer des performances médiocres ou de chercher la sympathie des autres.

Sur le lieu de travail, les perfectionnistes sont souvent remarqués par leur faible productivité car les individus perdent du temps et de l’énergie sur de petits détails non pertinents dans le cadre de grands projets ou d’activités quotidiennes banales.

Le côté obscur du perfectionnisme, appelé  « l’angoisse de performance » peut être plus nuisible lorsque les gens se soucient constamment de faire des erreurs, de laisser tomber les autres, ou de ne pas mesurer jusqu’à quel point leurs propres normes peuvent être incroyablement élevées, a déclaré le chercheur principal Andrew Hill, professeur agrégé de psychologie du sport à l’Université St. John de York en Angleterre. Des recherches antérieures ont montré que les « l’angoisse de performance » et le stress qu’elles engendrent peuvent contribuer à de graves problèmes de santé, notamment la dépression, l’anxiété, les troubles alimentaires, la fatigue et même la mortalité précoce. L’étude a été publiée en ligne dans la revue Personality and Social Psychology Review..

L’étude a révélé que les pires effets de l’angoisse de contribuent à l’épuisement au travail, peut-être parce que les gens ont un plus grand soutien social et des objectifs clairement définis dans l’éducation et les sports. Un étudiant peut être récompensé pour le travail acharné avec un niveau élevé, ou un joueur de tennis peut gagner le grand match, mais une performance remarquable dans le milieu du travail peut ne pas être reconnu ou récompensé, ce qui peut contribuer au cynisme et au Burnout.

L’issue la plus logique et d’apprendre à s’accepter imparfait et de se distancier de ses croyances et de la pression sociale. Un travail avec professionnel de l’accompagnement psychologique peut se révéler utile et faire gagner des années et gagner en sérénité.

Contacter Sébastien Scheidt, thérapeute systémique à Metz : 06 50 77 91 19

Comment gérer l’hypocondrie

 

Qu’est-ce que l’hypocondrie ?

Voici la définition du dictionnaire :
1. La conviction que l’on est ou est susceptible de devenir malade, même s’il n’y a pas de preuve médicale de la maladie.
2. un trouble psychiatrique caractérisé par une inquiétude excessive au sujet d’une maladie grave.

L’hypocondrie est mieux décrite comme la peur obsessionnelle, irrationnelle d’avoir un état pathologique grave. L’hypocondrie ou angoisse de la maladie voir de phobie de la maladie est basée sur l’interprétation erronée par un individu de ses symptômes, et qui continue à exister malgré l’assurance médicale que l’individu n’a pas de maladie. L’hypocondrie va au-delà des préoccupations normales de sa santé, et peut gravement influer sur le fonctionnement professionnel, ainsi que les relations interpersonnelles.

Symptômes de l’hypocondrie

Les symptômes de l’hypocondrie varient considérablement d’une personne à l’autre. Voici quelques exemples d’obsessions les plus communes rencontrées dans l’hypocondrie :

•    penser qu’un mal de tête est révélateur d’une tumeur cérébrale
•    croire qu’une toux doit être un signe de cancer du poumon
•    supposer qu’une douleur thoracique mineure est une crise cardiaque
•    penser qu’une plaie mineure est un signe de sida

Quelques exemples courants de compulsions hypocondriaques :

•   Des visites multiples de médecins, parfois voir plusieurs médecins le même jour
•   Des tests médicaux multiples, souvent pour la même condition présumée
•   Une vérification répétitive du corps pour les symptômes d’une condition médicale présumée
•   Un évitement répété du contact avec des objets ou des situations de peur d’exposition à des maladies
•   Des recherches d’informations sur internet à propos des maladies et leurs symptômes (“cyberchondrie“)

On estime que 4-6% de la population a une hypocondrie significative sur le plan clinique. De plus, des recherches récentes suggèrent que jusqu’à 10% de toutes les visites aux médecins généralistes peuvent être dues à des craintes hypocondriaques.
Comme démontré ci-dessus, l’hypocondrie a de nombreuses caractéristiques obsessionnel-compulsives qui sont assez similaires à celles du TOC. Une différence essentielle entre les deux conditions est que les personnes atteintes de TOCs craignent souvent de tomber malade, tandis que ceux qui sont atteint d’hypocondrie ont peur d’avoir déjà une maladie. Peut-être que la similitude la plus significative liant TOC et hypocondrie est le processus cyclique par lequel les symptômes des deux augmentent.

Traitement de l’hypocondrie

Deux approches sont souvent citées pour leur efficacité mesurées cliniquement vis-à-vis des TOC et de l’hypocondrie : l’approche cognitivo comportementaliste et la thérapie brève interactionnelle et stratégique. La thérapie brève et stratégique est un modèle souvent associé au psychothérapies cognitivo-comportementales car les deux modèles utilisent une méthode empirique et expérimentale pour la validation des techniques et la vérification des résultats.
Le thérapeute cognitivo-comportementaliste guide le patient à travers un processus basé sur la prise de conscience et sur l’effort volontaire d’apprendre comment combattre ou gérer le problème. Le thérapeute stratégique propose des expériences émotionnelles correctrices dans les perceptions et les actions du patient pour qu’il puisse ensuite acquérir la capacité de gérer son problème. La première approche fait plus appel à la raison alors que la deuxième fait appel à un type d’apprentissage au niveau inconscient avec un taux de réussite supérieur à l’hypnose, parce que plus durable.
L’objectif de la thérapie brève et de mettre en échec la spirale de l’anxiété en utilisant la logique de problème pour reprendre le contrôle et ne plus se laisser contrôler par le problème.
En utilisant les outils de la thérapie brève, les clients apprennent à contrôler leurs craintes hypocondriaques, ainsi que les comportements compulsifs et d’évitement qu’ils utilisent pour faire face à leur angoisse le la maladie.
Si vous souhaitez en savoir plus sur la thérapie brève, lors d’un premier rendez-vous, pour le traitement des TOCs, de l’hypocondrie, et les conditions liées aux peurs de la maladie, appelez le 06 50 77 91 19.

Gérer la fybromyalgie

Qu’est-ce que la Fibromyalgie ?

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D’après Wikipédia : « La fibromyalgie, ou syndrome fibromyalgique, est une maladie associant des douleurs musculaires et articulaires diffuses, une fatigue, des troubles du sommeil, des troubles cognitifs mineurs et des troubles de l’humeur d’intensité variable et d’évolution chronique. Le diagnostic est établi d’après l’examen clinique, habituellement normal en dehors d’une sensibilité à la pression des tissus mous, et d’analyses biologiques simples, l’ensemble permettant d’écarter d’autres diagnostics.

Cette maladie, fréquente, potentiellement invalidante, touche le plus souvent les femmes d’âge moyen. La cause est inconnue, et une anomalie de fonctionnement du système nerveux central est supposée. Il y aurait une sensibilisation excessive des récepteurs impliqués dans la perception de la douleur. Le traitement, uniquement symptomatique, repose habituellement sur l’association de médicaments et de mesures non médicamenteuses. »

Dans le cadre d’un plan de traitement global pour vous aider à vivre une vie saine et pleine avec la fibromyalgie, votre médecin peut vous recommander de consulter un psychiatre ou un psychologue.

Il est utile de recourir à une aide psychologique, car cela peut vous aider à soulager certains de vos symptômes. Les symptômes de la fibromyalgie peuvent avoir un impact significatif sur votre vie, votre travail, vos relations avec les membres de votre famille et vos amis, ainsi que vos perspectives d’ensemble. Un professionnel de la santé mentale peut vous aider à faire face à l’impact de la fibromyalgie sur votre vie.

La douleur et d’autres symptômes de fibromyalgie ne devrait pas gouverner votre vie, ainsi il est important de les gérer. Pour ce faire, vous devriez peut-être combiner un certain nombre de thérapies et de traitements comprenant de l’exercice, un soutien psychologique, et des techniques de gestion de la douleur comme l’auto-hypnose. Cette approche pluridisciplinaire pour traiter la fibromyalgie peut soulager vos symptômes, tant psychologiques que physiques.

Comment aborder l’aspect émotionnel de la fibromyalgie ?

La fibromyalgie est difficile à traiter, et il peut que l’aspect émotionnel ait un impact négatif sur votre santé, mais cela n’est pas de votre faute. Vous n’êtes pas “fou/folle” de vous sentir triste ou anxieux. Et il y a quelque chose que vous pouvez faire à propos de ces émotions et de ces ressentis.

Bien que les experts ne soient pas sûrs que la fibromyalgie provoque l’anxiété et la dépression ou qu’elles soient à l’origine de la fibromyalgie, mais il existe un consensus sur le lien fort entre la douleur et le bien-être mental.

Si vous vous sentez triste ou anxieux ces derniers temps, n’hésitez pas à en parler à votre médecin ou psychothérapeute. Prêter attention à votre santé mentale et émotionnelle est tout aussi important que de prêter attention à votre santé physique.

Trouver un psychothérapeute pour traiter la fibromyalgie

Une fois que vous êtes dans le bureau de votre psychothérapeute, vous pouvez parler de votre vie avec la fibromyalgie et de votre façon de faire face. Votre psychothérapeute peut également suggérer un type de thérapie psychologique dont vous bénéficierez. Un travail à différents niveaux peut s’avérer nécessaire que ce soit sur le plan comportemental, cognitif ou relationnel, afin de mieux comprendre et mieux réguler tout ce qui aggrave le problème.

En sus des techniques telles que l’hypnose, l’apprentissage de l’autohypnose ou la méditation en pleine conscience ont prouvé leur efficacité dans le cadre de la gestion de la douleur.

Pourquoi la thérapie brève et l’hypnose sont efficaces pour réguler la fibromyalgie

L’objectif de la thérapie brève est de mettre en échec la spirale de l’anxiété et du stress -qui aggrave la douleur -en apprenant des techniques de régulation émotionnelles et cognitives.

La thérapie brève systémique s’intéresse aux relations que l’on peut avoir avec soi, avec son problème et avec les autres. Avant d’apprendre comment apaiser il faut comprendre tout ce qui participe à aggraver, tels que les comportements, les pensées, les intentions. Par le biais de nouvelles expériences, de nouveaux comportements et de nouvelles pensées plus positives émergent, ayant pour conséquence un apaisement de la douleur.

La pratique de l’hypnose et de l’auto hypnose devient alors plus efficace, et les effets de plus en plus durables.

Bien vivre avec la fibromyalgie

En plus de consulter un professionnel de la santé mentale et émotionnelle, vous pouvez faire d’autres choses pour maintenir votre niveau de santé globale.

Dormir suffisamment toutes les nuits, manger sainement, et faire de l’exercice régulièrement font parties de ces choses essentielles pour bien vivre avec la fibromyalgie. Le but ultime du traitement de la fibromyalgie, peu importe s’il implique une thérapie cognitive et émotionnelle, est de vous aider à vivre une vie heureuse et saine.

N’attendez pas d’aller plus mal et d’attendre que les antidouleurs soient de moins en moins efficaces avec le temps.

Contactez un psychothérapeute près de chez vous.

Pour ceux vivant à Metz ou dans la région vous prouvez prendre rendez-vous avec Sébastien Scheidt Thérapeute Systémique et Hypnothérapeute au 06 50 77 91 19

Faire face à un manipulateur

sous emprise d'un manipulateur

La manipulation fait partie intégrante de la nature humaine. Les enfants manipulent les parents, les parents manipulent les enfants pour qu’ils grandissent, les commerciaux manipulent leurs clients pour qu’ils achètent. Toute interaction est manipulation.
La manipulation devient un problème lorsqu’elle devient destructrice. Si un manipulateur contrôle votre vie, votre propre santé mentale est en danger, que ce soit au travail ou dans votre vie personnelle. C’est pour cela qu’il est important de l’identifier. Une fois identifiée la manipulation peut être contenue, mais dans certains cas la seule issue est la fuite.

Les manipulateurs sont typiquement très habiles et très difficiles à démasquer. Voilà quelques signes qui permettent de les repérer :
La première étape de la manipulation est la séduction. Le manipulateur vous valorise, vous flatte, ce qui semble normal dans certains types de relations, mais il peut faire des confidences qui semblent inappropriées à ce stade de la relation, ce qui peut laisser croire qu’il y a une certaine intimité.
Puis  il peut exiger de l’attention,  demander  des services,  jouer la victime en demandant de l’aide. Si vous êtes une personne altruiste et généreuse, vous devenez une proie facile, autorisant votre manipulateur à prendre le pouvoir sur vous.

Il saura toujours vous rappeler ce moment ou il a fait quelque chose pour vous. Il peut même s’attribuer le mérite d’un événement positif qui vous arrive, même si ce n’est que la retombée d’une action qu’il a menée exclusivement pour lui.

Le manipulateur fait en général preuve de peu d’empathie, mais il sait la feindre s’il a un but à atteindre. Il peut aussi adopter des comportements impitoyables, observez le dans ses interactions avec les autres, surtout s’il est en position de force.
Il tient les autres pour responsables de son bonheur ou de son succès.
Le manipulateur est motivé par son propre succès, et non par le vôtre.

Dans une relation normale, les besoins des deux individus sont satisfaits, mais quand un manipulateur est dans une relation, ses besoins deviennent sa priorité…
Il sait faire preuve de sarcasme et sait vous faire culpabiliser. Si vous doutez et culpabilisez sans arrêt, c’est souvent le signe que le  manipulateur est en train de prendre le contrôle.

Un manipulateur ne comprend pas les limites et ne respectera certainement pas les vôtres. Il peut se presser contre vous, vous toucher même si vous n’êtes pas intimes, vous poser des questions très personnelles, envahir votre espace, abuser de votre temps.

Une fois que vos  limites ne sont plus respectées,  que vos émotions sont ignorées et que votre capacité de faire confiance est mise à mal, la personne manipulée perd toute estime de soi. Un manipulateur accompli vous fera vous sentir détestable, vous aurez peur de prendre des décisions vous-même, vous remettant perpétuellement en question par rapport à votre capacité à faire quoi que ce soit.

Les personnes aimant faire confiance sont souvent attirées par les manipulateurs. Les signes à observer ,avant d’accorder sa confiance, sont plus particulièrement les types de comportements récurrents. Mais aussi ceux qu’on appel le les double-contraintes.

Voila la définition de Wikipédia : « Une double contrainte (de l’anglais double bind) est une situation dans laquelle une personne est soumise à deux contraintes ou pressions contradictoires ou incompatibles. Si la personne est ou se sent prisonnière de la situation, cela rend le problème insoluble et engendre à la fois trouble et souffrance mentales. Une double-contrainte peut se produire dans toute relation humaine comportant un rapport de domination, et particulièrement dans la communication émanant du ou des “dominants”.

La double contrainte fut notamment proposée, sous l’impulsion de Gregory Bateson en 1956 au sein de l’école de Palo Alto »
Par  exemple : un patron demande à son employé de prendre des initiatives, mais dès que l’employé aura effectué une action sans passer par l’approbation de son supérieur il lui en sera fait le reproche. La situation peut se répéter indéfiniment dans un sens ou dans l’autre. Quoique l’employé fasse il sera perdant.
Une femme pourrait demander à son mari de lui faire plus de cadeaux, mais il faudrait que l’idée vienne de lui. Elle lui reprochera ensuite de lui avoir offert un cadeau parce qu’elle le lui à demandé.

Dans les situations de doubles contraintes : quoi que l’on fasse on perd. La victime de la double contrainte ne peut se sentir que piéger car quoi qu’elle fasse elle sera punie.

Nous avons tous été victimes mais aussi émetteurs de doubles contraintes.  Le manipulateur abuse de ce type de communication paradoxale, ce qui rend la victime vulnérable.

Pour cerner et déjouer les pièges d’un manipulateur vous aurez besoin de l’aide d’un thérapeute praticien du modèle de l’école de Palo Alto ou bien faire le constat que la seule option restante est de fuir pour échapper à l’emprise du manipulateur.

Le burn-out

Qu’est-ce que le Burnout ?

Le burn-out appelé aussi épuisement professionnel, est un état d’épuisement émotionnel, mental et physique causée par un stress excessif et prolongé . Il se produit lorsque vous vous sentez dépassé et incapable de répondre aux demandes constantes. Comme le stress continue, vous commencez à perdre de l’intérêt ou la motivation qui vous a amené à prendre un certain rôle en premier lieu.

 

Le burn-out réduit votre productivité et sape votre énergie, vous laissant un sentiment d’impuissance grandissant, un sentiment de désespoir, peut-être même du cynisme et du ressentiment . Finalement, vous pouvez vous sentir comme si vous n’avez plus rien à donner.

La plupart d’entre nous avons des jours où nous pouvons nous ennuyer, nous sentir surchargé, ou incompris, quand les efforts pour qu’une douzaine de balles soit maintenues en l’air ne sont pas remarqués, encore moins récompensés ; le fait de s’extraire du lit peut nécessiter une détermination digne d’Hercule. Si cependant vous vous sentez comme ça la plupart du temps, vous devez certainement flirter avec l’épuisement.

Vous pouvez être sur la voie de l’épuisement professionnel si :

  • Chaque jour est une mauvaise journée.
  • Prendre soin de votre travail ou de vie à la maison semble être une perte totale d’énergie.
  • Vous êtes épuisé tout le temps.
  • La majorité de votre journée est consacré à des tâches que vous trouverez soit abrutissantes et ternes soit écrasantes.

Les effets négatifs de l’épuisement professionnel débordent dans tous les domaines de la vie, y compris à la maison et dans votre vie sociale. Le Burnout peut aussi causer des changements à long terme qui vous rendent vulnérables aux maladies comme le rhume et la grippe. En raison de ses nombreuses conséquences, il est important de faire face à l’épuisement professionnel tout de suite.

Causes liées au travail de l’épuisement professionnel :

  • Se sentir comme si vous aviez peu ou pas de contrôle sur votre travail
  • Le manque de reconnaissance ou de récompense pour un bon travail
  • Avoir des attentes professionnelles trop élevées
  • Faire un travail qui est monotone ou pas assez motivant
  • Travailler dans un environnement chaotique ou sous haute pression

Les causes de mode de vie de l’épuisement professionnel :

  • Travailler trop, sans assez de temps pour relaxer et de socialiser
  • Devoir incarner trop de rôles pour trop de personnes
  • Prendre trop de responsabilités, sans assez d’aide d’autrui
  • Le manque de sommeil
  • Le manque de relations étroites et de soutien

Les traits de personnalité pouvant contribuer à l’épuisement :

  • Tendances perfectionnistes, rien n’est jamais assez bon
  • Vision pessimiste de vous-même et le monde
  • La nécessité d’être en contrôle, la réticence à déléguer aux autres

Que fait la thérapie brève par rapport au burn-out :

Le mouvement de la thérapie brève et stratégique est d’obtenir des résultats thérapeutiques maximaux grâce à des interventions minimales et les moins intrusives possible; l’objectif étant de réactiver les ressources personnelles de la personne qui jusque-là ont été bloqués par la spirale négative du burn-out.

Notre intervention immédiate vise à identifier et bloquer par voie de conséquence l’échec des tentatives de solutions que le patient met en place pour  surmonter son état d’abattement, et en même temps d’identifier et de renforcer les stratégies fonctionnelles qui peuvent l’aider à s’échapper de son propre labyrinthe.

Pour en savoir plus :

Dans son numéro de janvier 2017 le magazine Cerveau & Psycho aborde le sujet du burn-out :”Relâcher la pression – Comment éviter le burn-out neuronal

Dans le même numéro vous trouverez le test suivant : “Quelle pression vous mettez-vous ?

Insomnie – troubles du sommeil

Qu’est-ce l’insomnie ?

Dans l’acception commune et courante, l’insomnie est la diminution de la durée habituelle du sommeil et/ou l’atteinte de la qualité du sommeil avec répercussion sur la qualité de la veille du lendemain.

Insomniaque luttant contre l'insomnie

 

Un cercle vicieux

Hors il est à noter que l’insomniaque se doit de dormir. Alors il met en place des rituels pour accroitre la durée du sommeil. Il peut prendre des tisanes ou du lait, recourir à des comprimés à base de plantes  voir d’anxiolytiques. Il se met au lit parfois tôt et s’oblige à dormir. Le sommeil ne venant pas il se tourne et se retourne,  il lit au lit en attendant le sommeil ou regarde la TV. Moins il s’endort, plus il s’énerve, se crispe, pense aux conséquence de sa mauvaise nuit sur la journée du  lendemain. Il essaye de se forcer, de se motiver, mais tout cela échoue.
Ce scénario peut se répéter nuit après nuit. Il s’agit d’un cercle vicieux que l’insomniaque n’arrive pas à briser. Il se sent victime d’une force que le dépasse.

L’école de Palo Alto

Dans les années 60 un groupe de chercheur que l’on nomma l’école de de Palo Alto avaient formalisés une théorie selon laquelle les « tentatives de solution » constituent la cause de la plupart des problèmes psychologiques. Ils ont identifié que dans certaines problématiques le patient voulait provoquer chez lui des choses spontanées naturelles, se forcer à avoir un orgasme, à aimer, à se détendre.

Les tentatives de solution

Il en est de même pour le sommeil. L’insomniaque s’adresse une injonction paradoxale : « Dors spontanément ». Une sorte de performance impossible à accomplir dans la peur de vivre les difficiles conséquences le lendemain. Il amplifie ainsi toute une série de problèmes : augmentation de la tension mentale et physique, association entre lit et insomnie, déstructuration du rythme veille/sommeil, développement d’une phobie du sommeil, survenue de sentiments d’impuissance et d’échec…

La solution devient le problème

Dans l’approche de Palo Alto le thérapeute va amener l’insomniaque à faire un 180° de sa tentative de solution qui est « je dois me forcer à dormir ». La nouvelle injonction devient dont « je dois cesser de me forcer à dormir ».

Quand le problème devient la solution : Les prescriptions paradoxales

Voici donc quelques prescriptions paradoxales pour traiter l’insomnie :
Lire l’annuaire téléphonique jusqu’à tard dans la nuit, effectuer des corvées et autres tâches rébarbatives jusqu’au matin, écouter une émission de radio à bas volume de façon à tendre l’oreille, se forcer à écouter au travers des murs… Et n’aller au lit que si l’on tombe de sommeil. La conséquence et de rendre l’état de veille pendant la nuit d’un profond ennui et le sommeil une issue libératoire. Le faite de s’interdire d’attendre le sommeil permet un lâcher prise et un retour à une régulation naturelle. Lâcher son objectif principal qui est de dormir et une focalisation sur un autre type de performance à pour résultat d’enrayer le cercle vicieux.

Le résultat : Pourquoi quelque de chose d’illogique marche ?

En résumé : vouloir se forcer à dormir, pour ne pas avoir à vivre les conséquences de la fatigue, entraine un longue attente frustrante au lit qui créée de l’énervement. La tension s’élève, des pensée négatives apparaissent ainsi qu’un sentiment d’échec. Le résultat final se traduit par un manque de sommeil et un certain désespoir. Mais le cercle vicieux réapparait le soir suivant ou la personne pense qu’elle doit tout faire pour contrôler et que l’échec de la veille n’est que la conséquence d’un manque de contrôle.

Le contrôle du sommeil est une tentative de contrôle forcément vouée à l’échec, mais la personne se doit de contrôler autre chose. S’atteler à l’objectif de pas vouloir dormir en effectuant des tâches ennuyeuses et rébarbatives ne peuvent entrainer que deux conséquences : celle de rester éveiller ou celle de tomber par ennui dans le sommeil. Dans aucun de ces cas de figure la personne n’est en échec, et elle retrouve le contrôle avec la satisfaction de ne plus s’énerver.    
Des stratégies similaires sont employées par beaucoup cliniques du sommeil, sous la forme de recommandations telles que de ne rien faire d’autre que de dormir au lit. Les actions suivantes sont à bannir : rester éveiller, dormir, manger, regarder les écrans, lire,…

Pour en savoir plus sur l’approche systémique.

Précautions

Le cas de figure de l’insomnie est un cas simple qui exclu toute cause physiologique ou autres pathologies. Par contre si l’insomnie est le symptome d’un stress,  d’une grande anxiété, d’une dépression ou d’un burn-out il est  urgent de contacter un spécialiste. Consulter un médecin pour vous  exclure toute cause médicale. Il est aussi indiquer d’effectuer une psychothérapie avec un psychologue, un psychothérapeute, un psychopraticien ou un hypnothérapeute.
 
Si l’approche de Palo Alto  vous  intéresse ou que  vous cherchez un thérapeute sur Metz, Nancy, en Moselle, en Meuse ou  en Meurthe et Moselle vous pouvez prendre rendez-vous avec Sébastien Scheidt, coach et thérapeute systémique et hypnothérapeute, au :  06 50 77 91 19
 

Comment se prémunir contre la dépression

Est-ce que vous ou un être cher a une dépression? Si oui, vous savez peut-être que les traitements médicaux peuvent améliorer l’état. Mais qu’en est-il des moyens de l’empêcher en premier lieu?

Il n’y a pas de réponse claire. La plupart des experts pensent qu’elle ne peut pas être empêchée. D’autres n’en sont pas sûrs.

La plupart des choses qui vous rendent plus susceptibles de tomber en dépression sont des choses que vous ne pouvez pas contrôler, y compris vos gènes, les  médiateurs chimiques dans votre cerveau, et votre environnement. Pour beaucoup de gens, la dépression commence après un changement de vie ou un traumatisme majeur. Il peut également se produire si vous avez un autre problème de santé, comme le cancer, le diabète, ou la maladie de Parkinson.

Vous pouvez ne pas être en mesure de vous protéger totalement de ces choses. Mais vous pouvez changer la façon dont vous gérez le stress qu’elles peuvent causer. Si vous êtes déjà en dépression, vous pouvez l’empêcher de s’aggraver.


Quel sont les facteurs aggravant de la dépression ?

Nous ne parlerons pas des facteurs héréditaire ni des traumatismes de l’enfance.
–    Une alimentation pauvre en graisse excluant les omégas 3
–    Une alimentation pauvre en fruits et légumes, certaines études ont démontré que les personnes mangeant peu de fruits et de légumes sont plus sujet à la tristesse
–    Vouloir absolument contrôler certaines choses impossibles à contrôler, les relations, le futur
–    Le repli sur soi et le retrait des interactions sociales
–    L’évitement de la tristesse
–    Le manque d’exercice physique
–    Le fait de focaliser sans arrêt sur le passé (ruminations) et le futur (pensées d’anticipations)
–    Vouloir se forcer à avoir envie pour faire et ne rien faire en attendant car les objectifs sont peut-être trop élevés
–    Ou le contraire se forcer à faire alors qu’on a besoin de repos
–    Des attentes irréalistes sur ses proches, son travail, soi-même ce qui entraine une mauvaise estime de soi
–    Le manque de plaisir, parce qu’on à pensé aux autres d’abord et pas pris soin de ses besoins
–    Une relation difficile ou un contexte de travail stressant voir harcelant
Comment se prémunir contre la dépression ou l’empêcher de revenir

Bien que les médecins ne sachent pas comment il est possible d‘éviter une dépression complètement, vous pouvez être en mesure d’empêcher une rechute si vous avez déjà eu un épisode.

Que faire pour éviter la dépression ou la rechute :


–    Des études ont démontré qu’un suivi psychologique diminue de moitié les chances de rechute
–    Eviter l’arrêt du traitement médical intempestivement parce que vous allez mieux sans l’avis d’un psychiatre
–    D’autres études ont montré que faire de l’exercice 3 fois par semaines ou une demi-heure de marche d’affilée par jour permet de garder un équilibre psychologique ou de l’améliorer
–    Toute activité qui permet de garder son attention au présent tels que la méditation en pleine conscience, le yoga, l’auto-hypnose , la lecture, la pratique d’une activité tel que le bricolage ou jardinage, la lecture, la marche en pleine conscience en nature. Le but de la pleine conscience est de se concentrer sur ce qui se passe dans le présent. La méthode vise à aider les personnes souffrant de dépression d’être conscient de leurs pensées négatives et d’apprendre à les changer
–    Voir des amis, des proches pour détourner son attention de soi. Faire des choses qui vous maintiennent connectés aux autres.
–    Avoir des objectifs minimaux chaque jour plutôt que de grands projets
–    Avoir des attentes minimales par rapport à soi
–    Apprendre à gérer le stress et augmenter son estime de soi avec un thérapeute
–    Ne pas sauter les séances de thérapie
–    Évitez l’alcool et les drogues récréatives. Il peut sembler que ceux-ci vous faire sentir mieux. Mais ils peuvent effectivement rendre plus difficile de traiter votre dépression.
–    Connais-toi toi-même. Faites attention aux choses qui semblent aggraver vos symptômes. Gardez des notes et en informer votre médecin ou votre thérapeute à ce sujet.
–    Ne pas prendre de grandes décisions de vie un jour où vous vous sentez à terre.
–    Manger sain et équilibrer, fruits, légumes, Oméga 3…

Certaines études ont constaté que des mesures comme le changement de mode de vie, de nourriture peuvent réduire les nouveaux épisodes de dépression de 25% ou plus, mais les scientifiques doivent faire plus de recherche sur ces approches.

Hypnose : gérer l’angoisse ou l’anxiété

Comment gérer l'anxiété, l'angoisse à Metz

Qu’est-ce l’anxiété ?

Les gens utilisent une variété de phrases pour décrire les états d’anxiété – ‘toujours sur le qui-vive‘, ‘alourdis par soucis’, en état de ‘stress permanent’ et ainsi de suite. L’anxiété peut souvent entrainer des troubles du sommeil, de la fatigue chronique, appauvrir en énergie, rend les gens plus vulnérables à la maladie comme les phobies et les craintes et peuvent affecter la digestion et mener à des troubles intestinaux, l’anxiété non dépistée peut conduire à des attaques de panique, à la dépression, à des crises cardiaques et des affections cutanées entre autres choses.

 

Il est important de réaliser que bon nombre des symptômes de l’anxiété sont aussi les symptômes du déclenchement du mécanisme de « lutte ou de fuite » dans le cerveau émotionnel – le système corps/esprit est en pilote automatique, agissant comme si il y avait une menace physique immédiate : il est vraiment en alerte. Les pensées anxieuses ainsi que des circonstances difficiles et traumatisantes plus peut-être la peur, la frustration ou la colère et dans certains cas des déséquilibres hormonaux et d’autres changements chimiques au sein du corps– tout cela a pu contribuer à déclencher le système d’alarme.

Est-ce que je dois prendre des médicaments ?

Les médecins prescrivent une variété de médicaments pour les états d’anxiété aiguë. Dans la majorité des cas, ceux-ci peuvent être efficaces à court terme bien que de nombreuses études ont montré qu’ils ne fournissent pas de réponses à long terme. Toute personne prenant des médicaments devrait, toutefois, consulter ses conseillers médicaux minutieusement avant l’arrêt ou la réduction de la dose. Si le médicament agit comme un plâtre, gardez à l’esprit que vous n’abandonnerez pas le plâtre, tant que la cassure n’est pas résorbée.

Dois-je suivre une thérapie ?

Les définitions sont essentielles. Les formes traditionnelles de thérapie et de thérapies psycho-dynamiques ou psychanalytiques encouragent l’introspection qui alimente généralement l’anxiété. Des études ont montré que leur effet sur les états anxieux peut être négatif et parfois dangereux. En revanche, on a constaté qu’une thérapie qui met l’accent sur des solutions pratiques, enseignant des compétences précises, en fixant des objectifs réguliers et en encourageant une compréhension plus intelligente du système émotionnel est très efficace.

Une bonne thérapie pour l’anxiété :

  • enseigne au client des moyens pratiques pour gérer les états anxieux
  • encourage la compréhension du fonctionnement de l’anxiété
  • montre aux clients comment équilibrer ses besoins plus efficacement
  • traitera les expériences traumatisantes de façon efficace
  • n’encourage pas l’introspection excessive
  • ne devraient pas durer longtemps.

Combien de séances ?

Cela dépend de la nécessité. Beaucoup de clients apprennent à gérer leur anxiété suffisamment en quelques séances. D’autres trouvent que plus de sessions sont nécessaires – parfois 7 ou même plus rarement 10 s’il y a plusieurs problématiques à gérer. Vous serez invités à mesurer et à surveiller les progrès dès le début et pourrez observer des améliorations rapides. La thérapie est terminée lorsque les objectifs sont atteints, bien que des consultations occasionnelles pour« re-booster » soient possibles.

Hypnose et anxiété

L’hypnose peut être utilisée comme une thérapie de soutien visant avant tout la relaxation pour un meilleur contrôle de l’anxiété. Elle est également efficace pour anticiper et contrôler les affects liés à l’événement anxiogène, ou comme technique intégrative d’un vécu traumatique.

En savoir plus ?

Les scientifiques ont testé un principe utilisé en thérapie brève issue de l’Ecole de Palo Alto. Pour en savoir plus vous pouvez consulter l’article de Cerveau & Psycho : “Ecrire son anxiété pour la réduire“.

Sentez-vous libre de nous contacter sans obligation au : 06 50 77 91 19

Coaching Inside Cabinet d’Hypnothérapie de thérapie brêve et de Coaching à Metz en Moselle